J'aurais aimé y participer mais ne suis pas à la hauteur.
Il s'agit de sculptures monumentales.
Le 14 septembre 2015, à Clamart sept sculpteurs ont investi l'espace de travail que leur ont aménagé la Fondation Arp (Clamart) et la Fondation des Apprentis d'Auteuil (Meudon).
------>>>>>> Attention, vous ne pourrez plus les voir sculpter après le samedi 3 octobre , au 83 avenue Schneider à Clamart, à 200 mètres en haut à gauche de l'allée forestière Brignole Galliera.
Il est indiqué que vous pouvez venir observer leur travail et dialoguer avec eux en fin de matinée entre 11h et 12h30
les jeudi, vendredi, samedi et dimanche.
J'y suis allée hier samedi vers 17h et il y avait pas mal de visiteurs très bien accueillis.
Vous trouverez toutes les informations sur le site de Clamart
http://www.clamart.fr/loisirs/culture/1er-symposium-international-de-sculpteurs-en-ile-de-france/
Je vais essayer de vous les présenter
L'article du parisien vous en parle
http://www.leparisien.fr/clamart-92140/clamart-meudon-les-sculpteurs-ouvrent-leur-atelier-a-ciel-ouvert-25-09-2015-5126639.php#xtref=http%3A%2F%2Fwww.bing.com%2Fsearch%3Fq%3D1er%2Bsymposium%2Bsculpteurs%2BClamart%2BLe%2BParisien%24go%3DValider%24qs%3Dn%24form%3DQBRE%24pq%3D1er%2Bsymposium%2Bsculpteurs%2Bclamart%2Ble%2Bparisien%24sc%3D0-0%24sp%3D-1%24sk%3D%24cvid%3Dd1716547c7a74debbc2554cad5b0d771
Vous y trouverez les liens vers La Fondation Arp et La Fondation Saint-Philippe des Apprentis d'Auteuil.
Voici la photo extraite de cet article
et sa légende Clamart, le 22 septembre 2015. Armen Agop (à droite) montre à 3 de ses confrères sculpteurs
Philippe Ongena, Patrice Belin et Xavier Gonzalez (de gauche à droite)
l’avancée de son œuvre réalisée sur une pierre en granite noir du Zimbabwe. (LP/J.B.)
Vues d'ensemble
Philippe Weil, de France, travaille sur la verticalité de sa pierre support. Sa sculpture qui défie Newton est en fait un mobile.
C'est sa spécialité.
Susanne Specht, m'a incitée à faire tourner moi-même cet empilement. J'ai beaucoup hésité, elle a dû m'encourager.
Impressionnant, çà tourne plus ou moins vite suivant la poussée donnée.
Puis elle reprend son point d'équilibre.
Je vous parlais d'elle. Je vous présente Susanne, pensive, appuyée sur son oeuvre en devenir.
Elle travaille une pierre de lave; rassurez-vous celle-ci n'est pas si dure que çà.
Les fortes pluies de ces derniers temps l'ont inspirée; elle a percé la pierre qui sera très belle sous la pluie
car l'eau pourra y jouer en suivant la rigole qu'elle a creusée.
Xavier Gonzalez, d'Espagne, prend un peu de recul pour observer son travail.
Il a bien avancé sur cette face et m'a dit devoir aborder plus précisément l'autre coté.
Il montera sur des palettes empilées pour atteindre les points les plus hauts.
Ils veillent les uns sur les autres; un sculpteur est venu pendant qu'il construisait son échafaudage de fortune
pour lui montrer un point faible et l'aider à y remédier.
Sa sculpture est comme un bras humain qui soutiendrait quoi,... je n'en sais rien.
Elle est constituée de 2 blocs de marbres différents.
Ton Kalle des Pays-Bas derrière sa pierre, de face.
Il m'a précisé que les sangles qui entourent la pierre du dessus ne sont pas prévues pour un transport à la méthode Obélisque.
La photo suivante vous montre que la sculpture n'est pas que création.
Il faut déplacer la sculpture de Ton que vous avez aperçue sur la 2ème vue générale plus haut
car la pluie conjuguée à l'usage de gros engin ont creusé le sol non préparé à ce traitement.
Conducteur François Weil. Ils savent tout faire.
De dos Patrice Belin (France) et au centre Xavier Gonzales (Espagne).
Philippe Onguena, de Belgique (de face) et Armen Agop, d'Egypte (à droite) discutent outillage.
Vous l'avez sans doute remarqué, je n'ai pas repéré le sculpteur Italie.
Merci à ceux qui pourront venir de m'aider sur ce point.
Peut-être vous laisserez-vous tenter par un spectacle de Pierre Meunier, "au milieu du désordre" qui sera présenté
le 3 octobre à 17 heures lors de la clôture du symposium.
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